Questions - Réponses / Blog de bob

Ah oui, j’avais oublié la pierre. Peut-être faudrait-il l’enlever pour éviter l’irréparable (je pense à un hypothétique accident avec ta gyne).

oh la la, je viens de lire les dernières nouvelles. Je n'en reviens pas des dégâts que cela a pu occasionner. Par contre les fourmis sont désireuses de boire à l'extérieur, on dirait Ça fait longtemps que je pense mettre un abreuvoir pour oiseau dans l'aire de chasse de mes Messor. Faudra que je regarde à ça !
Intéressant le blog, comme d'hab.

On ma conseillé de faire évaporer de l'eau minéral pour en augmenter la concentration en sel (1/5 : 1 litre jusqu'à 20 cl ), de se pencher sur la sève des racines de pissenlits qui contiennent beaucoup de minéraux. Je pense tester pendant les prochaines vacances.

dukenukem08 a écrit:

Ça fait longtemps que je pense mettre un abreuvoir pour oiseau dans l'aire de chasse de mes Messor. Faudra que je regarde à ça !

- J’ai testé, sans succès, l’abreuvoir pour oiseaux ! La fourmi qui tombe dans le liquide (partie extérieure, évidemment), donc dans le petit embout permettant aux volatiles de s’abreuver, est curieusement aspirée dans le réservoir d’eau pour remonter, par la suite, à la surface. Celle-ci devient inaccessible, à moins de vider l’ensemble du contenu. Je crois, que cet abreuvoir offre donc quelques problèmes. D’autre part, l’introduction d’un bouchon d’ouate cause à long terme le phénomène siphon, car bien souvent (surtout les « barbarus » ) s’efforce à retirer cette matière qui enclenche cette aspiration. En plus, si tu as une semelle en plâtre dans le fond de l’ ADC, l’espèce de mèche confectionnée par nos petites bébêtes videra rapidement le contenu. Bien que cela dépendra aussi du type d’abreuvoir choisi. Quoique !!!

Moi je l'utilisais avec de la mousse filtrante de pompe d'aquarium. Les Messor ne peuvent l'enlever et c'est propre.

Knarf a écrit:

La salle (photo blog du 26 févr.) qu’elles ont creusée dans la terre est impressionnante. Elles vont continuer leur travaux durant la saison chaude comme tu l’écris, mais il arrivera un stade, il me semble, où elles n’y toucheront plus : la solidité de l’ensemble nous semblera alors très faible, à nous humains, mais je leur fais confiance question constructions fiables.

- Peut-être…et je l’espère, car voici une photo bien plus alarmante ! (Il s’agit, cette fois, d’une cavité creusée dans l’ADC - A1 dans le sens de la longueur du terrarium. Cela représente +/- 27 cm de largeur et certains endroits atteignent une hauteur de 5 cm. La profondeur rejoint le côté opposé !!! (J’aperçois la lumière du jour).
Toutefois, le couvain et la reine restent, apparemment, confinés dans les nids en plâtre.

Toujours aussi génial, merci de me faire vivre ce que j'aimerais réaliser un jour !

Faut il encore trouver une gyne Messor barbarus !

Les dimensions de cette salle par rapport à celles du vivarium sont en effet assez « osées ». N’y-a-t-il pas de colonnes ou de murs de soutènement (c’est parfois difficile à voir). De plus le tassement du sable (de ton mélange) a pour effet de solidifier le tout, ainsi que l’humidité du milieu (mais je ne t’apprends rien).
C’est vrai que je peux paraître optimiste (trop ?) vu la photo et tes descriptions. C’est en tout cas un bon test sur l’ingéniosité des Messor barbarus dans un milieu précis !
Néanmoins très agréable à regarder : ouvrières qui s’activent sous terre et en surface (ça fait oublier le côté captif…)

Réserve d’eau : Outre le fait de boire, les ouvrières devraient aussi se nettoyer sur ou tout près du coton humide imbibé d’eau propre, ce qui je crois est un plus pour le bien-être d’une ouvrière.

Sels minéraux : J’ai lu aussi (sur d’autres forums) que certains broient de l’herbe pour en récupérer le jus, et le distribuent ainsi pour apporter des sels minéraux à leur colo. (mais dans ce cas, attention aux pesticides et autres produits !!!)

bob, je n'ai moi non plus aucune idée de ce qui pourrait causé la mort de tant d'ouvrière et la destruction du couvain dans ta colonie.

Tu as oublié une seule option, n'y aurait il pas une source de stress qui n'était pas la avant? je sais pas peut être quelque chose qui vibre ou une chaleur trop importante.

Bonjour Bob,

j'espere tres sincerement que ça va s'arranger pour ta colonie.

Je ne vois pas bien non plus qu'elle pourrait être le probleme...

Peutetre est il temps de faire des tests en cas de carrence ?

Je pense que tu donnes une allimentation riche et variée,
mais peutetre as tu oublié quelque chose ?

niveau humiditée et chaleur je ne vois pas, tu as trop pour une erreur comme ça, d'autant plus que ton installation est l'idéal pour palier a ce genre de problemes.

Une autre source de stress n'est pas a exclure;
utilises tu un isolant entre tes nid et la table ?

- La mortalité se poursuit inexorablement : toujours quelques centaines d’ouvrières journellement !!! Apparemment, la colonie ne parvient plus à produire une salivation correcte des graines, car le pain des fourmis est quasi inexistant [(il n’y a plus de détritus – (téguments)], et ceci, depuis l’apport de sel dans les abreuvoirs. Toutefois, les insectes, œuf de poule cuit dur et les grains de couscous sont, consommés assez rapidement. (Intervention trop tardive !!!).
- Le stress est à exclure, car je n’ai que peu de temps pour m’installer devant ma fourmilière. D’autre part, il n’y a aucun facteur extérieur qui pourrait, éventuellement, troubler ma colonie.
- J’utilise un isolant sous et au-dessus de chaque nid. (Il y a même des petits tapis, faisant fonction d’amortisseur, sous les pieds des tables. Même la porte d’entrée est équipée d’un mousse antichoc. Il y a un pare poussière sur chaque ADC et le poids total, assez élevé, suffit à stabilisé l’ensemble de l’installation. A+

Robert,Helsen a écrit:

Toutefois, les insectes, œuf de poule cuit dur et les grains de couscous sont, consommés assez rapidement. (Intervention trop tardive !!!).

C'est déja une bonne chose, si tu nourris en proportion de cette façon,
ça devrait permettre de gagner du temps pour répondre à l'origine du problème...
Pourquoi cette diminution/arret de la fabrication du pain de fourmis ?

Un rapport avec le sel n'est pas a exclure, si c'est le cas,
il faut les gaver avec d'autres sources de nourritures le temps qu'elle se relance dans la fabrication de pain de fourmis.

Le danger... L'absence de trophalaxie et de jabot social des Messor barbarus pourrait être un gros andicape sur ce coup la...
Je pense notament à la reine, mais aussi aux ouvrières affecté à l'entretient du couvain.

Bonjour Robert,

Peut-être s’agit-il d’un manque de vitamines ??? Je pense en particulier à la vitamine C. C’est la saison des cerises en ce moment (j’en donne à mes colonies) : coupées en deux, avec un peu de sucre sur la partie tranchée, ou autres fruits de saison (fraises) (je précise que les fruits que je donne viennent de jardins où il n’y a pas de pesticides, il ne s’agit pas d’achats effectués dans le commerce).

J’ai cru comprendre que tu n’avais pas pu nettoyer totalement tes bacs où il y avait du sel : je pense qu’il faut tout de même les retirer et les remplacer (même si c’est très délicat, car il s’agit de sauver ta colonie entière ! ) : peut-être mettre des abreuvoirs plus petits et plus nombreux, pour éviter l’écrasement d’ouvrières, ou comme tu l’a déjà fait des tubes + eau + coton.
Toutefois l’apport en sels minéraux n’est pas à mettre de côté (voir les différentes méthodes citées plus haut).

La suppression du nid n°1, comme tu l’écris, a dû les perturber : s’il s’agissait du cœur de la colonie, est-il possible qu’il y ait une détérioration conséquente de l’odeur coloniale, provoquant des attitudes agressives, une désorganisation du cycle vital ???

J’espère très sincèrement que ta colonie va reprendre une belle évolution !

ça semblerais quand même étrange que la suppression d'un module entraîne la destruction de la colonie. En tout cas, dans la nature une colonie est capable de déménager sans problème si son nid est détruit (même les grosse colonie).

En tout cas tes descriptions encouragent à pensé à un conflit d'odeur...

Knarf a écrit:

Bonjour Robert,
J’ai cru comprendre que tu n’avais pas pu nettoyer totalement tes bacs où il y avait du sel : je pense qu’il faut tout de même les retirer et les remplacer (même si c’est très délicat, car il s’agit de sauver ta colonie entière ! ) : peut-être mettre des abreuvoirs plus petits et plus nombreux, pour éviter l’écrasement d’ouvrières, ou comme tu l’a déjà fait des tubes + eau + coton.
La suppression du nid n°1, comme tu l’écris, a dû les perturber : s’il s’agissait du cœur de la colonie, est-il possible qu’il y ait une détérioration conséquente de l’odeur coloniale, provoquant des attitudes agressives, une désorganisation du cycle vital ???
J’espère très sincèrement que ta colonie va reprendre une belle évolution !

Bonjour Franck
- Par le passé, j’ai toujours eu, minimum, un abreuvoir dans chaque ADR. Toutefois, par l’apport de terre dans trois d’entre elles, j’ai dû supprimer l’apport d’eau, car les récipients étaient rapidement remplis de terre pour obtenir une espèce de boue. Cet ainsi que j’avais placé un abreuvoir assez grand uniquement dans l’aire de récolte A5. Ceci forçait les ouvrières à se déplacer : pour les plus éloignées, il s’agit de plusieurs mètres. Le passage des ouvrières dans les tubes de connexions en était donc augmenté et ceci est assez agréable à observer. Cependant, pour la reine, que je n’ai jamais vue dans ce module, je ne sais pas trop ?! Je ne crois pas que ceci fut une erreur, car je m’imagine que dans la nature est n’ont pas toujours un apport de flotte sous la patte. Malgré tout, j’ai replacé, il y a une bonne quinzaine jours, des petits abreuvoirs que je nettoie régulièrement. Cela me permettra, certainement, de nettoyer celui qui fut rempli de sel et qui s’assèche déjà rapidement. Actuellement, je supprime l’huile de paraffine, car les combats fratricides m’inquiètent particulièrement. (Je n’ai jamais approuvé spécialement ce système d’antiévasion). La mortalité d’aujourd’hui pourrait atteindre les 1000, je placerai une image quand le temps me le permettra.
A+ Robert

salut bob, je me suis mis à la page en allant sur ton blog, et il me semblait pourtant que tu avais il y a un moment déjà supprimé les plafonds périphérique de ta colonie enduits de paraffines. Il me semblé que tu étais retourné à ton système d'anti évasion mécanique classique (grilles) à cause justement de conflit occasionné par cette substance.

florent a écrit:

salut bob, je me suis mis à la page en allant sur ton blog, et il me semblait pourtant que tu avais il y a un moment déjà supprimé les plafonds périphérique de ta colonie enduits de paraffines. Il me semblé que tu étais retourné à ton système d'anti évasion mécanique classique (grilles) à cause justement de conflit occasionné par cette substance.

Bonjour « florent ». En effet, mais je les aies replacés par la suite : réf. http://messorbe.canalblog.com/archives/2008/11/01/index.html , dernière phrase du commentaire. Je croyais que l’apport de terre aurait atténué, même résolut le problème. D’autre part, il avait toujours quelques exécutions. Par la suite, ce fut le repos hivernal et je n’ai plus rien observé d’anormal ! J’ai à tort, peut-être, replacé les plafonds périphériques mais ceci, uniquement, afin de procéder plus facilement au nettoyage pendant cette période nettement plus calme. Les grilles occasionnent trop décrassements et ceci est assez insoutenable à mes yeux. Mes problèmes familiaux et de santé m’ont, de toute évidence, écarté de trouver une autre alternative plus rapidement. Après avoir lu ton blog, je me suis aperçu que tu employais le talc comme système anti-évasion ! J’ai fait un test sur une ADR, puis sur les autres progressivement.
Mais rien n’est gagné jusqu’à ce jour !!! A+ robert

J'utilise aussi le talc de mon coté, rien ne passe !

je ne pense pas que le talc puisse occasionner des conflits d'odeurs, enfin tu verras bien si la situation s'améliore!

La noix de cajou n'est-elle pas salée? Ce fameux sel qui a causé tant de mortes chez plusieurs membres.

florent a écrit:

je ne pense pas que le talc puisse occasionner des conflits d'odeurs, enfin tu verras bien si la situation s'améliore!

Non …certainement pas (d’ailleurs, je ne crois pas l’avoir signalé), mais les particules de talc tombe progressivement ! Soit, accentué par les vibrations (travaux du voisin) ou par le passage intense des ouvrières : tout simplement par la pesanteur. C’est donc la fiabilité à long terme qui m’inquiète. L’inconvénient, mineur soit-il, c’est de pouvoir effectuer la remise en état du système. Je dois retourner le plafond périphérique et le replacer par la suite. Malgré la mortalité subie, la colonie reste suffisamment populeuse pour entraver sérieusement ces travaux. Toutefois, un seul module sur huit, à subit ce léger désagrément, donc pas de panique. L’avenir nous le dira !

florent a écrit:

La noix de cajou n'est-elle pas salée? Ce fameux sel qui a causé tant de mortes chez plusieurs membres.

- Elle est vendue sous la forme salée (accompagne les apéritifs) et non salée !
J’emploie évidemment cette dernière. N’oublie pas que j’ai toujours réalisé des petits tests afin de les retransmettre par la suite. Il s’agit de prendre patience et d’attendre le résultat (les commentaires) de l’expérience. (Comme p. ex. l’apport de sel dans les abreuvoirs !!!). Il s’agit d’être prudent. Toutefois, je ne crois pas que cette noix pourrait occasionner des déboires.

Effectivement pour le talc les vibrations le font tomber et c'est normal.

Tu pourrais essayer l'huile de paraffine, surtout pour un plafond périférique (si je ne me trompe pas).

Pour ma pars jamais eu de problème avec le talc mais je n'ai jamais fait de plafond périphériques.

bob a abandonner l'huile de parafine il y a peu, pensant que celle ci est la source de tout ses problémes ( les mortes et les conflits d'odeur dans sa colonie).

Bonjour,

Tout d’abord je suis content d’apprendre que les chôses vont en s’améliorant, malgré les grosses pertes passées.

En ce qui concerne l’appliquation du talc, voilà comment tu pourrais peut-être procéder (je fais ça chez moi car je ne suis pas doué avec le pinceau + talc) :
- appliquer le talc à la main sur une surface maximale du plafond, et en fines couches (je trouve que les grains de talc s’accrochent mieux ainsi à la matière qu’avec le pinceau).
- ensuite taper plusieurs fois sur le plafond « retourné » afin que le surplus de talc tombe. Vérifier que la barrière de talc est toujours là.
- après cette dernière étape, la couche de talc restante sera fine, et résistera aux diverses vibrations (travaux du voisin :/ ), voir même au vent (fenêtres ouvertes). L’efficacité de l’anti-évasion durera à mon avis plus longtemps.

En espérant t’aider un peu.

(Note : j’utilise cette technique sur des paroies verticales et non pas sur des plafonds)